GRADE IV : 33% • Son pouvoir lui permet de mouvoir des objets en métal de moins de quatre kilos simplement en traçant la trajectoire de l'objet dans sa tête. Il ne peut bouger qu'un seul objet, et au plus son poids se rapproche des trois kilos, au plus sa force physique en prend un coup - il peine alors à lever un doigt, pris d'atroces courbatures s'il pousse un peu trop les limites de son pouvoir. GRADE III : 47% • Il peut à présent bouger des objets en métal pesant jusqu'à six kilos. Le trajectoire de l'objet lui vient de manière plus instinctive. Il ne peut toujours en bouger qu'un, et est toujours pris de courbatures quasi-paralysantes s'il abuse de son pouvoir. GRADE II : 60% • Son pouvoir lui permet maintenant de déplacer à sa guise les objets faits de métal pensant jusqu'à huit kilos. Au plus l'objet est léger, au moins il a besoin de réfléchir à sa trajectoire, ce qui fait qu'il a tendance à envoyer valser les pièces de monnaie sans vraiment s'en rendre compte. Il peut, non sans quelques difficultés, mouvoir deux objets en même temps, tant que le poids des deux ne dépasse pas les huit kilos maximum. En plus des courbatures habituelles, son corps ne supporte pas plus de trois minutes la force de deux objets et ses os auront donc tendance à se briser s'il atteint ou dépasse cette limite de temps. GRADE I : 77% • Il peut, à ce niveau-là, mouvoir un ou deux objets tant que le poids total ne dépasse pas dix kilos. Son corps résiste à présent un peu mieux à la double charge, laissant cinq à six minutes de battement à Lenz pour utiliser son pouvoir avant que ses os ne commencent à se briser, le temps exact dépendant de la charge qu'il déplace. Les courbatures sont toujours présentes, bien que le faisant un petit peu moins agoniser, celui lui permettant de repousser légèrement ses limites lorsqu'il s'agit d'un seul objet à déplacer.
▲ Au cas où cela ne se verrait pas, il lui manque une jambe et un bras. ▲ Il les a perdu dans un accident de voiture qui a coûté la vie à quatre personnes. ▲ Dans son malheur, il a pu trouver une utilité à son pouvoir, qui lui permet à présent de se mouvoir grâce à des prothèses métalliques. ▲ À deux reprises déjà il a croisé le chemin d'une étrange femme, qu'il trouve quelque peu enquiquinante. ▲ Il prend des antidépresseurs et souffre régulièrement du membre fantôme. ▲ Il lui est déjà arrivé à plusieurs reprises de se coincer sa jambe de métal dans une grille d’égoût et, le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est pas cool comme situation. ▲ Anciennement policier, il continue à se prendre pour le justicier des rues. ▲ Élevé par une mère très croyante, il prie l’unique plus par habitude que par réelle conviction. ▲ Sa mère lui coupait les cheveux jusqu'à ses 13 ans. À cet âge là, agacé des coupes ridicules qu'elle lui faisait, il s'est procuré une tondeuse (à cheveux, bien sûr) et s'est rasé l'entièreté du crâne. ▲ Elle a pris cela pour une rébellion d’adolescent et l'a privé de sorties pendant deux semaines. Mais après, elle l'a toujours emmené chez un coiffeur. ▲ Il adore l'odeur du jus de pomme mais à horreur du goût. ▲ Un jour, son pouvoir lui a fait défaut alors qu'il descendait des escaliers. Il s'est fêlé plusieurs cotes et s'est cassé un doigt. ▲ Son père est mort sur la route pour venir le récupérer à un camp de vacance. Il n’est jamais arrivé à destination et Lenz était persuadé d’avoir été lâchement abandonné. ▲ Il a une peur panique des insecte volant, même s’il supporte à peu près les mouches. Le pire c’est qu’il ne peut même pas fuir ; la peur ruine totalement son pouvoir. ▲ Il aimerait se mettre au jardinage, mais il n’a pas de balcon. En attendant que sa situation change, il s’est acheté une pelle. ▲ Il l’a appelée Mathilda et lui a dessiné un visage. ▲ Il se sent seul, ok ? ▲ Les gens ont tendance à avoir peur de lui. Peut-être parce qu’il fait un mètre quatre-vingt seize et qu’il semble être à moitié composé de métal. ▲ Il dort très peu, et pas forcément par choix. ▲ Il ne sort en général que s’il est obligé, il préfère passer la plupart de son temps à sa lamenter sur son canapé. ▲ Son canapé est très confortable, et il y dort plus souvent que dans son lit. ▲ Il a cependant recommencé à aller au cinéma, même si une récente mauvaise expérience lui a un peu coupé l’envie de continuer. ▲ Sa mère le force régulièrement à aller lui faire des courses pour être sûre qu’il sorte de temps en temps de chez lui. ▲ Il a coupé les ponts avec tous les amis qu’il avait avant son accident. Il le regrette beaucoup maintenant, mais il ne sait pas comment reprendre contact. ▲ Dans ses années lycée et même après, c’était quelqu’un de populaire, de particulièrement fêtard et également très imaginatif quand il s’agissait de faire des conneries. ▲ Et malgré ce passé peut-être un peu tumultueux, l’accident l’a rendu totalement frigide. ▲ Il a peur des ventilateur accrochés au plafond. Rien que d’imaginer le carnage que ça ferait si ça venait à se décrocher le fait tourner de l’oeil. ▲ Il n’est jamais, mais alors jamais satisfait par la météo. Faut toujours qu’il y ai un truc qui aille pas. ▲ Il est peut-être un petit peu aigri. ▲ Il s’entraîne à l’autodérision, mais il a encore du mal. Pour l’instant, il vaut mieux éviter de le vaner sur sa condition, au risque d’avoir son suicide sur la conscience.
Lenz Weelherft Junkrat de Overwatch
▬ Prénom(s) Nom : Lenz Weelher ▬ Date de Naissance : 16/11/1990 ▬ Âge : 27 ▬ Espèce : Mentaliste ▬ Pouvoir : Contrôle d’objets en métal ▬ Région d'origine : Daunae ▬ Orientation : Hétérosexuel ▬ Situation conjugale : Célibataire ▬ Situation familiale : Fils unique ▬ Situation financière : Moyenne ▬ Métier/Occupation : Ancien flic vivant maintenant sur les aides ▬ Fréquentation de Xényla : Non ▬ Groupe sanguin : B+ ▬ Qualités et défauts : (+) veut le bien des gens ; sait se faire discret ; relativement patient ; laisse toujours le bénéfice du doute, parce qu'il croit en la bonne volonté / (-) totalement dépressif ; défaitiste ; prêt à se laisser crever si on vient pas le sortir du lit ; incapable de prendre des décisions ; se déteste, de manière générale.
Lenz, c’est un peu le genre de gars qui est incapable de prendre soin de lui tout seul. Il a tendance à oublier de se lever le matin, à oublier de se nourrir quand il a faim et à oublier que le monde à plus d’espace à offrir que les trente-cinq mètres carrés de son appartement. Lenz, il pourrait même pas prendre soin d’une plante. Il la regarderait mourir puis, pris de remord, la noierait sous des litres d’eau dans l’espoir de la voir retrouver ses couleurs. Ca part d’une bonne intention, mais ça marche pas, ça fait que la tuer un peu plus. On pourrait presque résumer la vie de Lenz à ça - à chaque fois que ça tente de s’en sortir, ça s’enfonce encore plus ; comme il noie une plante mourante en pensant lui faire échapper in extremis à la mort.
Lenz s’inquiétait un peu, du coup. Parce que il n’était pas dupe, tout de même, il savait bien qu’il avait un sacré problème avec lui-même et avec la vie en général. Et là, il était en train de voir s’éloigner la dernière chose qui lui rappelait de temps en temps qu’il était encore un être vivant. Sa mère, son pilier depuis son accident. Il aurait du mal à lui avouer, et il préfère faire semblant et rechigner, mais s’il était encore en vie actuellement, c’était principalement parce qu’elle était encore là, derrière lui, à le pousser sans cesse vers le haut. Sa mère, c’était un peu comme une assistance respiratoire organique. Et la voilà qui partait.
Pas longtemps, elle partait. Deux petites semaines. Elle prenait des vacances au sud de l’île. La première fois qu’elle quittait la capitale depuis que son fils avait touché la mort du bout des doigts. Lenz l’acceptait, elle avait besoin de vacances, plus encore, elle méritait plus que quiconque ces vacances. Lenz n’était personne pour l’empêcher de partir, même s’il savait très bien que s’il lui avait demandé, elle aurait annulé ses vacances. Mais il se considérait déjà assez comme un poids mort pour en plus de ça risquer de lui gâcher ses vacances.
Alors il prenait sur lui. Il regardait le train démarrer, essayait de repérer le fenêtre à laquelle était installée sa mère, en vain. Peut-être était-elle de l’autre côté du wagon. Il n’alla pas vérifier, il devait garder le peu de force qu’il lui restait pour se traîner jusqu’au bus qui le ramènerait au centre ville. Avec cette jambe de misère, il n’avait pas d’énergie à perdre, il ne voulait surtout pas qu’on le foute sur un fauteuil roulant.
Le train quitta la gare. Lenz resta un instant à observer les quais vides, le coeur un peu serré. Il avait un mauvais pressentiment. Le genre de truc qui te retourne l’estomac et te donne l’impression que tes veines vont imploser sous la pression des palpitations. Il porta sa main de chair sur son torse, inspirant profondément. Il avait cette sale impression qu’il était sur le point de se retrouver totalement seul, pour le reste de sa vie - aussi court soit-il, ce reste. Mais il se rappelait aussi de ce que lui avait expliqué sa psy. Son cerveau n’était plus capable de réfléchir comme un cerveau normal, intact. Son cerveau à lui était défaitiste, toujours à imaginer le pire, alors il ne fallait pas qu’il prenne tous ses mauvais sentiments au pied de la lettre, ce n’était probablement que son esprit détraqué qui s’amusait encore à le tourmenter.
Il fallait qu’il s’en aille de là. Il n’aimait pas la gare, de toute façon. Trop de monde, trop de départs, trop d’abandons. Il la voyait souvent dans ses rêves, la gare. Et sa psy lui disait que ce n’était pas parce qu’il aimait bien prendre le train étant petit, mais parce qu’au contraire il n’aimait pas partir, s’éloigner, et parce qu’il détestait encore plus quand c’était les autres qui s’éloignaient de lui. Il avait rechigné quand sa mère lui avait demandé de l’accompagner le jour de son départ, parce que la gare, et les trains, ça lui laisse toujours un goût amer entre les dents. Ca lui fait repenser à ses rêves. Et il aime pas trop ça.
Alors il avait fuit, aussi vite qu’il avait pu. Assez lentement, du coup. Parce que ça faisait des années qu’il ne pouvait plus courir, ni marcher trop vite, sans risquer de se vautrer en beauté. Un peu comme si son pouvoir, qui ne lui avait jamais été utile jusqu’alors, le pointait du doigt en riant, se vengeant d’avoir été autant mis de côté toutes ses années. C’était un peu ce qu’il s’était passé, d’un côté. Son pouvoir, avant, il lui servait à peine pour vider le lave-vaisselle. Il le décrivait souvent comme « peu utile, et même pas si cool que ça ». Ah, pourtant, quand il s’était retrouvé à roulettes et qu’on lui a dit qu’il pourrait éventuellement remarcher rapidement s’il apprivoisait son pouvoir, il en était devenu le plus grand fanatique.
Mais bon, il ne se laissait pas facilement apprivoiser, ce coquin. Ca, ou alors Lenz n’avait pas assez de conviction en lui pour prendre le temps de comprendre son fonctionnement et essayer d’apprendre à le maîtriser, petit à petit. De toute façon, il arrivait déjà à remarcher, à quoi bon chercher plus loin ? Courir un marathon n’avait jamais été dans ses plans, même dans son passé de valide. Alors il pouvait bien se contenter de sa démarche de boiteux, non ?
Ayant traversé la gare en quelques minutes, il avait "sauté" dans le premier bus en direction du centre ville. Il s’était installé à l’arrière, s’appuyant contre la vitre du véhicule, le regard dans le vide. Au plus ça allait, au moins il avait l’impression que le mauvais sentiment qu’il avait eu un peu plus tôt était dû à son habituel caractère pessimiste. Il avait l’impression d’avoir fait une erreur en laissant sa mère partir. Peut-être aurait-il dû y aller avec elle ? Ca lui aurait fait du bien, d’aller à la plage, remarque. Même s’il n'aurait pas pu se baigner. Et que la possible chaleur aurait fait chauffer ses prothèses jusqu’à le brûler. Au moins, ça lui aurait fait changer de paysage. Faut le dire, ça faisait bien des années qu'il n'avait pas vu autre chose que les rues de la capitale, principalement celles qu'on pouvait voir depuis les fenêtres de son appartement.
Le bus démarra. Pratiquement en même temps, il sorti son téléphone de la poche ventrale de son sweat-shirt pour y brancher une paire d’écouteurs. Il fallait qu’il se change les idées. Il aurait tout le temps une fois rentré chez lui pour se lamenter sur sa solitude, et en vouloir à sa mère de l’avoir abandonné aux crocs de l’horrible mégalopole qu’est Daunae.
A votre propos
Pseudo : shiza. Âge : 21 Pays : Toujours le france Expérience : #rpzforumschevauxen2005mdr Comment avez vous découvert LCDB ? : en vrai, je me pose vraiment la question maintenant Couleur : antiquewhite mdr mourrez Code : Blurp, j'ai tout mangé.
Pandore Keyphalos
Grade IV
Messages : 18
Age : 33
Mer 20 Déc - 11:43
Pandore Keyphalos
Oui j'étais obligée de répondre avec Pandore
BJR TOI. T'ES BO.
Ah tu savais à quel point je l'attendais cette fiche. Tu savais aussi que je rêvais de voir les anecdotes que tu lui as trouvé. Alors tu te doutes que... tu ne m'as pas déçu. J'adore le fait qu'il ait dû se battre avec une grille d'égout (il fait pitié un peu, c'est rigolo), qu'il se soit cassé un doigt en tombant et tout. Genre jsp, je trouve ça drôle. J'ai tellement hâte qu'on joue leur relation. Bc Pandore et Lenz, c'est la destinée, ils vivent l'un pour l'autre et ça c'est grave cool.
Alors dépêche toi de le faire boire et de cramer son appart Pandore l'attend de pied ferme
Je te valide le code au passage même si on sait toutes les deux que wllh ça sert à rien vu que tu l'as pas mis En vrai j'ai ri au rpzrpschevaux, je t'imagine trop jouer un spirit et tout
Zhang Lya
Grade I
Messages : 93
Age : 30
Ven 22 Déc - 15:50
Zhang Lya
Wesh, j'avais jamais remarqué qu'il lui manquait une jambe et un bras moi. Merci les anecdotes
Sinon, sans rire, j'attends la suite de cette petite fiche avec impatience et j'ai ri en lisant tes anecdotes concernant le projet de jardin et l'achat d'une pelle de Lenzo. Il me rappelle la naissance du Lenz frétillant et ça, c'était quand même drôle. J'ai hâte de voir comment sa relation avec Pandore l'enquiquineuse va bien pouvoir évoluer en tout cas.
Vite vite qu'on voit tout ça
Sekai Yoki
Déléguée - Grade II
Messages : 106
Age : 25
Sam 20 Jan - 10:22
Sekai Yoki
J'adore cette fiche fojdpjbpjdpjd des anecdotes à l'histoire en passant par les evo et les bases (?) j'aime tout :alexeï: Lenz me fait un peu de peine genre le pauvre il a que des galères
Et puis j'ai bien fait attention à ton style d'écriture et j'ai... Beaucoup aimé voilà dpjpdjm
Bref j'aime trop dupdjud
Invité
Invité
Sam 20 Jan - 12:23
Invité
Elle est un peu triste sa vie quand même
Mais sinon tout est parfait, je te valide o/
Bravo pour ta Validation !
Pour rendre ta vie plus simple voici un petit résumé rapide de tous les liens importants pour finaliser ta validation. Tout d'abord, il te faudra indiquer où tu vis, dans un dortoir à Xényla ou ailleurs. Si tu es élève, tu auras besoin de t'intégrer à un club et si tu as un emploi, que tu sois adulte ou mineur, c'est là que tu devras te rendre. D'ailleurs, penses à te recenser ici
Il te faudra aussi remplir une fiche de lien (www.) ainsi qu'une fiche de rps (www.). Tu pourras trouver un partenaire pour ton premier RPici. Penses bien à recenser ta couleur aussi ici.
Bien sûr si tu as des questions, n'hésites pas à joindre les admins, Lenz ou Mio. Le reste du staff est également à ta disposition et si tu es élève, tu peux contacter ton délégué qui pourra te répondre sans soucis.
Bien ! Tu es fin prêt à te joindre à l'aventure ! Encore une fois bienvenue et bon jeu à toi ! Au plaisir de te croiser inrp.
Mio.
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