GRADE IV : 30% Il arrive à se transformer sans trop de mal, mais ne supporte pas sa forme animale plus de 10 minutes. Il reprend sa forme bermudienne, nu comme un vert, mais sans séquelle physique. GRADE III : 35% Encore aucune séquelle, malgré quelques courbatures dans les jambes fortement sollicité par le poids de sa transformation. Il ne peut pas dépasser les 15 minutes dans son hybridation. GRADE II : 45% Son corps commence à ressentir les dégâts que la transformation lui procure. Divers hématomes un peu partout sur le corps, ainsi qu'une paralysie temporaire de sa jambe gauche. Le temps qu'il peut passer sous forme animal dépasse maintenant la demi-heure. GRADE I : 55% Il peut désormais dépasser l'heure de transformation, mais les séquelles sont lourdes de conséquences sur son corps. Déchirures musculaires ajoutés à cela les hématomes et la paralysie temporaire de ses deux jambes et voilà un lion mal dans sa peau.
▲ Ne sort pas de chez lui, sans caféine. ▲ Dans le cas contraire, il vaut mieux le laisser tranquille. ▲ Ne prends pas part à la religion. ▲ Et évite toute question à ce sujet. ▲ Se moque éperdument des Humains. ▲ Lorsqu'il écoute de la musique, il rejoue la mélodie avec ses doigts. ▲ Il perd souvent ses clés chez lui. ▲ Tout comme la télécommande de sa télé. ▲ S'est déjà fracturé le poignet deux fois. ▲ Est allergique à l'aspirine. ▲ Est ambidextre. ▲ Ne parle pratiquement plus à ses anciens amis, faute de temps. ▲ Ecoute vraiment de tous les genres musicaux. ▲ Est en couple avec Caelan Anderson. ▲ N'a toujours pas son permis. ▲ Ce qui ne l'empêche pas de conduire pour autant. ▲ Enrage contre les végans extrémistes radicaux. ▲ Est capable d’engloutir une entrecôte de 2Kg en moins de dix minutes. ▲ Ecoute des musiques humaines pour en analyser le style et les rythmiques et s'en inspirer. ▲ Poste régulièrement de nouveaux freestyle sur sa chaîne. ▲ N’adresse plus la parole à son père. ▲ Et n’en parle pas aux interviews. ▲ Il n’a jamais appris à jouer d’un instrument. ▲ Mais connaît des beatmakers depuis qu’il est petit. ▲ Il n’a jamais goûté à de la chantilly. ▲ Et haït par-dessus tout la glace au chocolat. ▲ Il a les oreilles percées depuis ses 8 ans. ▲ Est bélonéphobe. ▲ Et agoraphobe. ▲ La dernière anecdote était fausse.
Zeru "Chaos" Aldayaft Mikoto Suoh de K Project
▬ Prénom(s) Nom : Zeru Aldaya, aussi appelé par son nom de scène "Chaos" ▬ Date de Naissance : 18/05/1996 ▬ Âge : 21 ans ▬ Espèce : Hybride ▬ Pouvoir : Transformation partielle ou totale en lion ▬ Région d'origine : Ivangar ▬ Orientation : Omnisexuelle ▬ Situation conjugale : Relation compliquée ▬ Situation familiale : Enfant unique, mère décédée ▬ Situation financière : Plutôt aisée ▬ Métier/Occupation : Rappeur du groupe 4U ▬ Fréquentation de Xényla : Non ▬ Groupe sanguin : B- ▬ Qualités et défauts : Charmeur; Sanguin; Honnête; Têtu; Ambitieux; Arrogant; Intuitif; Impatient.
Je me souviens de ma chambre dénudée de posters et de meubles. Du parquet grinçant, du lit aux lattes toutes détruites les unes après les autres. De cette chaise avec trois roulettes sur cinq. De ce tapis déchiqueté par les crocs du molosse de la famille. De cette porte inexistante à l’ouverture de mon chez-moi. De ma mère qui claque la porte au nez de mon père après lui avoir hurlé qu’elle voulait le divorce parce qu’elle ne supportait plus son comportement de fainéant. Mon père n’a jamais été un modèle, de ce que m'a dit ma mère, jusqu’à mes trois ans, il a fait des petits boulots dont il était vite viré à cause de sa fainéantise, à l’aube de mon troisième printemps, il s’est fait éjecter de son travail une nouvelle fois. Et il a fini par choisir de rester à la maison pour m’emmener à l’école le matin et s’occuper de moi à la sortie des cours. Ah ah, la bonne blague, si vous saviez comme je voulais y croire. Les journées où il oubliait de se lever pour m’emmener, ou qu’il oubliait de venir me chercher, grâce à quoi je devais attendre dans l’école jusqu’à ce que mon proviseur sorte son cul du canapé pour répondre au téléphone. Enfin, quand il n’était pas obligé d’appeler ma mère en panique parce que mon père était en train de décuver.
En fait, le plus gros problème, c’était sûrement de devoir changer de foyer toutes les semaines. De maison, mais aussi de mode de vie. Devoir me débrouiller tout seul sans la surveillance de mon père, et de l’autre côté être trop couvé par ma mère sans pouvoir tourner en rond, c’était chiant. Enfin, j’ai vite fini par prendre mon rythme, et c’était le plus important. Par la suite, j’ai passé les années de scolarité sans grands soucis jusqu’au CE2. Cette année, j’ai joué à l’imbécile. Entre les amourettes qui arrivaient déjà, vu que j’étais déjà bien formé, les sorties entre amis l’après-midi quand j’aurais normalement dû être en train de faire mes devoirs et puis surtout le fait d’être un pitre en classe, rien n’aidait. Alors, j’ai redoublé, et pour me punir mes parents m’ont envoyé dans un pensionnat. Vachement drôle en sachant que les deux étaient déjà sur la paille. Au bout de trois mois, ils m’ont renvoyé chez moi parce que mes vieux étaient incapables de payer ma pension. À faire ça, ils ont juste réussi à se ruiner un peu plus. Le divorce qui a suivi n’a réussi qu’à leur retirer le peu de pièces qui leur restait dans les poches. Ma mère a repris le travail comme une folle pour éviter de finir SDF. Mon père, il a continué de laisser couler jusqu’à ce qu’ils finissent par l’expulser. Il m’a fait squatter avec lui l’appart d’un de ses vieux copains. Le soir, je me réfugiais devant mon téléphone à regarder des clips de rappeurs, et de groupe de pop que j’étais obligé de télécharger au préalable. C’est clair qu'UTube nous facilite bien la vie maintenant, enfin les téléphones de maintenant surtout. Avec le temps, j’ai fini par me passionner pour ces gens qui arrivaient à transformer les mots en phrases percutantes, et puis j’ai fini par vouloir les imiter. À 11 ans, je me permettais déjà le luxe d’écrire des couplets pendant les cours d’histoire. Même si ça ne voulait rien dire et que je passais simplement pour le gamin qui fait le gros dur avec des mots qu’il ne connaît pas, ça plaisait à mes amis, et ça, ça refaisait ma journée.
J’ai continué sur cette lignée pendant bien deux ans avant que certains potes se trouvent une caméra et commencent à me filmer pendant que je rappais mes textes. C’était qu’un jeu, un petit truc à la con, jusqu’à ce que l’un d’entre eux le poste sur une plateforme de vidéos en lignes. La vidéo n’a pas fait un buzz fou, mais certain en redemandait. Ça m’a fait envisager la chose sous un nouvel angle, je me suis demandé si je ne pouvais pas tenter de faire quelque chose de plus travaillé. Pendant les heures hors cours, on tentait de faire des plans sympas, le soir, je piquais le pc de ma mère pour tout rassembler dans une vidéo, et puis le lendemain, on enregistrait juste le son en off. Bien entendu, on a eu les problèmes vachement drôles, le vent qui souffle dans le micro et ma voix qui termine cachée par le bruit. Et puis le plus gros problème, ça a été quand ma voix a commencé à muer, qu’elle s’amusait à casser en plein pendant le refrain, ou que le mélange aigu-grave vrillait les tympans de tout le monde. Au bout de quelques mois de galères où j’ai dû me justifier auprès de mes abonnés, pourquoi les clips, et même les freestyles se faisaient de plus en plus rares, voire inexistants. La réponse à cette question venait bien sûr de ma voix qui partait en cacahuètes, mais aussi de mon paternel qui a découvert ce que je m’amusais à faire sur internet. L’un de ses amis lui avait montré la vidéo avec un « On dirait ton gosse, tu ne trouves pas ? » J’ai cru péter un boulon quand je me suis rendu compte que le seul jour où il prenait enfin son rôle de père au sérieux, c’était pour quelque chose qui me rendait heureux et qu’il voulait stopper tout ça. Alors quand j’ai eu mes quatorze années, j’ai eu le droit de choisir chez qui je voulais rester, et j’ai vite coupé les ponts avec mon père. Par chance, ma mère a compris mes ambitions, et que ce qui partait d’une blague entre amis est vite devenu une passion. Elle m’a supporté, financièrement et psychologiquement. Lorsque j’avais un coup de mou et que j’avais envie d’arrêter, elle me remontait le moral. Quand la caméra nous a lâchés, elle a trimé jusqu’à économiser juste de quoi en payer une nouvelle. Je n’ai jamais pu la remercier comme elle le méritait. L’année d’après, j’ai reçu un message privé d’un employé de l’agence Kim, qui me disait aimer mes clips et m’invitait à passer des auditions pour voir ce dont j’étais capable. J’y ai réfléchi deux jours avant de poser la question à ma communauté grandissante. Elle m’a immédiatement encouragé à passer les essais et j’ai fini par accepter. Nos billets n’étaient pas offerts, et ma mère a encore une fois été obligée de mettre la main à la poche et d’aligner l’argent sans quoi je ne pourrais rien faire, rien montrer.
Une fois arrivés là-bas, j’ai cru m’évanouir devant la grande ville, même si je me doutais que celle-ci serait grande, je n’aurais jamais pu imaginer l’immensité devant laquelle je me suis trouvé. Pour être honnête, la cité est aux antipodes des villes bourgeoises. Les passants, eux avaient un look étrange, comme si tout transpirait l’argent en eux. Accompagné de ma mère, on a vite atterri devant la secrétaire chargée des réunions pour ceux souhaitant passer les auditions. Une vraie torture, étant donné que je déteste par-dessus tout trop en dévoiler, et surtout parler pour ne rien dire. Une heure et demi plus tard, j’étais dans cette salle accompagnée de mon angoisse de foirer mon coup, et d’une cinquantaine de clients qui m’avait l’air tous plus chevronnés les uns que les autres. J’ai été surpris par le nombre de participants pour la journée avant de me rendre compte qu’en fin de compte, une grande majorité a fini par passer à la trappe. Au final quand mon tour est arrivé, j’ai bafouillé au moment de me présenter. J’ai directement pensé qu’ils allaient décider de m’éliminer d’emblée comme les autres qui semblaient pourtant confiants en arrivant sur scène. Mais rien de tout cela n’est arrivé et ils m’ont autorisé à faire ma démo avec une certaine réticence. À voir leurs visages, je savais que j’avais intérêt à ne pas me louper, parce qu’ils ne me donneraient pas une seconde chance. À croire qu’ils avaient fini par apprécier ma prestation étant donné qu’ils ont fini par me donner une chance et m’ont intégré à l’entraînement. Pratiquement toutes mes journées se résumaient à travailler, manger, travailler, dormir. Pratiquement aucune pause ne nous était accordée pendant la journée et c’était insupportable, mais à la vue de la pression qu’ils me mettaient, je me devais de réussir. Ils étaient prêts à me jeter à la moindre occasion, au moindre problème, ils auraient tout fait pour en prendre un autre. Heureusement pour moi, avec le temps, j’ai fini par prendre de l’assurance, et mon travail a fini par porter ses fruits. Au bout d’un bon mois, ils m’ont enfin lâché la grappe et j’ai pu un peu plus déborder. S’il m’arrivait de foirer un exercice, ils me laissaient recommencer sans me mettre le couteau sous la gorge pour que je fasse les choses bien. Je peux me permettre un écart ou deux, ce n’est pas si grave après tout, personne n’a jamais été capable de tout chanter sans aucune fausse note. Parlons un peu de la vie là-bas, si c’était très rude au départ, il m’a fallu moins de deux semaines pour que je puisse prendre le rythme, j’alternais les cours de chant, et les entraînements à la salle de sport. Et puis arriva le jour où l’on m’annonça l’arrivée de ma mère aux urgences après un accident de voiture. L’accident le plus bête du monde, mais aussi le plus meurtrier. J’ai tout fait pour obtenir une autorisation de sortie pour aller la voir. Comme je m’en doutais à l’époque l’accident lui aura été fatal.
Après sa mort, j’ai cru que j’allais devoir retourner vivre avec mon père et les cadavres de bouteilles de bière qui traînaient dans toute la maison, mais à ma grande surprise, il céda et m’accorda le droit de continuer mes études chez Kim. Je voulais continuer ce que j’avais commencé avec ma mère pour lui rendre hommage, qu’elle soit fière de moi quand je la rejoindrais. Les années passèrent rapidement, à tel point que je ne voyais plus les jours passer. Je ne sais pas si c’est à cause de mon jeune âge qu’ils ne m’ont pas donné ma chance avant, mais ils ont finalement attendu l’approche de mes 19 trimestres pour enfin me proposer un contrat. Rentrer dans un groupe de pop. J’ai directement été emballé par l’idée avant de me rendre compte que malheureusement pour moi, j’étais le plus vieux. Et que les trois compères qui m’accompagnaient n’étaient pas de taille. J’avais l’impression que l’on se moquait de moi et de musique, qu’on me prenait juste pour une tête d’affiche et que les trois à côté de moi servaient à la même chose. Surtout le benjamin de la fratrie, Anthony n’était qu’un enfant,il était trop jeune, je pensais qu'il était là seulement grâce à son nom, et s’il n’avait pas l’étoffe d’une idole à l’époque, il ne mérite pas la fan base qu’il se coltine aujourd’hui. J’ai bien tenté de le remettre à sa place quand il a commencé à devenir arrogant, mais Emir m’a vite recadré pour que j’évite d’empirer les choses. Le plan a échoué. Deux années plus tard, j’arrive toujours à supporter les deux plus jeunes du groupe même si hors spectacle les tensions sont toujours présentes. Je pourrais les ignorer, mais c’est plus fort que moi. J’ai réussi à négocier avec mes employeurs pour pouvoir garder un contrôle complet sur ma chaîne UTube pour pouvoir garder un contact avec ma communauté. Ils ont accepté et m’ont autorisé à faire des vlogs pour un plan de vue marketing. Plus je montre mon visage, et plus je me fais connaître, plus on me connaît, plus on s’intéresse à ce que je fais, plus les gens s’intéressent à 4U. Et là, c’est un véritable pactole qu’on récolte. Seule ombre au tableau, il faut faire attention à ne pas dévoiler trop de choses, et surtout pas ce qui pourrait attirer la haine des spectateurs. Il faut leur donner ce qu’ils ont envie de voir, sans quoi c’est la fin.
A votre propos
Pseudo : Yogi; Benjamin; Zawa; Âge : 17 ans blbl Pays : France Expérience : 3 ans de rp ufufuh Comment avez vous découvert LCDB ? : Lawl. Couleur : GoldenRod Code : Oups, un danseur véner l'a mangé
Anthony Kim
Grade VI
Messages : 51
Age : 24
Jeu 18 Jan - 23:40
Anthony Kim
Eh mec, regarde, j'ai posé avec ta mère et j'ai acheté un t-shirt à son effigie. Elle m'a dit qu'elle était fière que tu aies réussi à trouver l'adresse du nouveau forum sans te perdre, bravo.
Spoiler:
Ahem. Pardon, GK était obligé.
Mais sinon en vrai :
REBIENVENUE MON CHATON
:luv:
Enji Baelims
Admin & Délégué - Grade VI
Messages : 37
Age : 25
Jeu 18 Jan - 23:49
Enji Baelims
Le plus beau, le plus viril, le plus mieux, qu'on l'attendait *^*
Bon, bienvenue je suppose ? ou re bienvenue, jsp En tout cas, j'aime cette fiche ! Je te la validerais demain quand j'aurai plus de temps mais tout semble parfait pour moi o/ Je te valide le code en passant o/
Gabriel Rose
Admin - Grade IV
Messages : 100
Age : 36
Jeu 18 Jan - 23:55
Gabriel Rose
chaos c'est trop edgy comme nom de scène mdr
bon retour à la maison
Invité
Invité
Ven 19 Jan - 8:16
Invité
Au début, j'avoue, j'ai cru il avait la phobie des baleines xD et le mec il a jamais mangé de chantilly de sa vie D: il habite dans une cave ou bien ?
Bon sinon tout est bon, c'est sympa à lire (ton histoire est qhqhqgcjdz *^*) du coup tu es validé !
Bravo pour ta Validation !
Pour rendre ta vie plus simple voici un petit résumé rapide de tous les liens importants pour finaliser ta validation. Tout d'abord, il te faudra indiquer où tu vis, dans un dortoir à Xényla ou ailleurs. Si tu es élève, tu auras besoin de t'intégrer à un club et si tu as un emploi, que tu sois adulte ou mineur, c'est là que tu devras te rendre. D'ailleurs, penses à te recenser ici
Il te faudra aussi remplir une fiche de lien (www.) ainsi qu'une fiche de rps (www.). Tu pourras trouver un partenaire pour ton premier RPici. Penses bien à recenser ta couleur aussi ici.
Bien sûr si tu as des questions, n'hésites pas à joindre les admins, Lenz ou Mio. Le reste du staff est également à ta disposition et si tu es élève, tu peux contacter ton délégué qui pourra te répondre sans soucis.
Bien ! Tu es fin prêt à te joindre à l'aventure ! Encore une fois bienvenue et bon jeu à toi ! Au plaisir de te croiser inrp.
Mio.
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